CATHERINE PÉTRAUD
Psychologue Clinicienne-Psychothérapeute ARS(AgenceRégionale de santé)
Thérapeute de couples et de Familles (diplômée de la faculté)
Praticienne EMDR Europe
Tél. : 06 81 56 38 74
Mail : catherine.petraud.psycho@laposte.net
Site web : www.psychologue-balma-petraud.fr
POURQUOI consulter un(e) psychologue ? un (e) psychothérapeute ?
➢ Un Soutien psychologique : quelques entretiens pour aider à dépasser un moment difficile (ruptures, séparations, deuils, problèmes de santé, échec scolaire et/ou professionnel…. ) à surmonter une difficulté, une crise… un événement…
➢ Un Suivi psychothérapeutique : des entretiens réguliers pendant plusieurs semaines afin de mieux comprendre ses façons de réagir, sortir d’un sentiment d’échec, d ‘un cycle de dépressions, de malaise personnel et /ou professionnel… déposer ses souffrances, exprimer ses émotions, ses peurs retrouver son énergie, construire sa vie plutôt que la subir, trouver ou/et retrouver ses ressources, mieux être dans sa vie, dans ses relations….
➢ Explorer son histoire familiale, sa généalogie : au-delà de tracer son « arbre généalogique », il s’agit d’aller à la rencontre des mythes et croyances conscients et inconscients que nous ont transmis nos ancêtres ; cet imaginaire qui bien souvent peut nous enfermer dans des répétitions stériles et bloquer notre potentiel de développement : maladies psychosomatiques, échecs sentimentaux, professionnels…
LA PSYCHOTHÉRAPIE, POUR QUI ?
Des adultes, des adolescents en séances individuelles des couples en crise… en rupture de communication, en instance de séparation… des familles en difficulté : un des enfants inquiète par son comportement à la maison (agressif, fuyant…) en classe (agité, en échec scolaire…) ; mais aussi des familles avec des enfants adultes : des difficultés (entre fratrie, générations) peuvent resurgir par ex. lors de la naissance d’un petit enfant, le décès d’un grand parent… Toute la famille est concernée, aussi, en général et tout d’abord, je reçois toute la famille. Lors de ces entretiens conjugaux et/ou familiaux, il ne s’agira pas de donner des conseils, susciter une décision (séparation ou non du couple par ex) mais de favoriser le retour de la communication, inviter à réfléchir ensemble pour trouver la solution, l’aide qui sera nécessaire aux uns et autres pour dépasser ce moment de crise… mieux se comprendre et vivre ensemble. Souvent pour les entretiens de couples et de familles, je m’associe à un collègue, psychothérapeute masculin ; c’est-à-dire que nous recevons ensemble le couple et/ou la famille ; nous pratiquons ainsi ce que l’on nomme la co-thérapie, nous offrons ainsi un plus de compréhension à nos consultants.
QUI JE SUIS ?
A + 55 ans aujourd’hui, la vie m’a donné, comme beaucoup d’entre nous, l’occasion de traverser des épreuves, des étapes…et permis de comprendre, d’apprendre le sens de celles-ci. Professionnellement, Après 20 ans de carrière comme formatrice-consultante en ressources humaines et thérapeute de groupe, auprès des professionnels de la santé et du social, en 2005, je choisis de changer l’ordre de mes priorités : mon activité de thérapeute devient majeure et mon activité de formatrice-consultante secondaire. Je continue d’intervenir comme formatrice auprès d’équipes médico-sociales, sur des thèmes comme la compétence des familles, soutien à la parentalité, la prévention des conflits et la gestion du stress, ou de l’épuisement professionnel, le processus de deuil et l’accompagnement de la fin de vie ; j’anime encore quelques groupes de paroles de professionnels (Balint) ; j’interviens dans le module psychologie du D.U. (diplôme universitaire) en Soins Palliatifs (faculté de médecine).
MA FORMATION
De formation universitaire, j’obtiens le diplôme de psychologue clinicienne (Master 2). Au fil des années, je complèterai cette formation initiale par une solide formation continue : un travail thérapeutique personnel, psychocorporel d’abord, et psychanalytique ensuite.
Vers la 40aine je rencontre Mme Anne ANCELIN-SCHUTZENBER, auteur du best seller « Aïe mes Aïeux » et me forme auprès d’elle, à la psychogénéalogie, à la technique du jeu de rôles et au psychodrame (pendant 4 ans).
En 2000, je me suis formée à la thérapie de couples et de familles à la faculté de Toulouse-le Mirail (certificat de thérapeute conjugal et familial du CUPPA).
Enfin ces dernières années, auprès de l’Institut Français d’EMDR à Paris, je me forme à l’EMDR, thérapie brève, reconnue depuis décembre 2013, par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) comme une des rares psychothérapies pour traiter les psychotraumatismes.
QU’EST-CE QU’EST L’ EMDR ?
Le sigle EMDR provient de l’expression Eye Movement Desensitization and Reprocessing, que l’on pourrait traduire littéralement par « désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires ». Toutefois, l’appellation française officielle est intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires – bien que l’on s’en tienne généralement à EMDR.
Mise au point à la fin des années 1980, l’approche de l’EMDR s’est surtout fait connaître pour le traitement des personnes ayant subi de très graves traumatismes et souffrant du syndrome de stress post-traumatique (SSPT), appelé aussi état de stress post-traumatique (ESPT). Grâce au processus neurologique mis en marche, cette approche semble stimuler le cerveau pour qu’il « métabolise » ou « digère » les résidus dysfonctionnels du passé. À la suite de cela, les souvenirs traumatisants perdent leur charge affective négative, ce qui met fin à la souffrance et aux réactions néfastes (crises de panique, peurs incontrôlées, anxiété, compensations de toutes sortes, etc.).
Plus récemment, les applications de l’EMDR se sont étendues à différents problèmes d’ordre psychique, comme les phobies et la dépression – inspirées dans ce cas par la théorie généralement admise voulant qu’un grand nombre de problèmes personnels découlent d’expériences difficiles vécues dans l’enfance. Le mouvement rythmique des deux yeux serait équivalent à celui qui a lieu spontanément pendant les rêves (la phase de sommeil dite rapid eye movement ou REM). Cette stimulation se répercuterait de manière complexe dans le cerveau, plus précisément dans sa partie la plus ancienne (dans l’évolution humaine) qu’on appelle cerveau limbique ou cerveau émotionnel. Normalement, ce processus se produit de façon naturelle et spontanée, ce qui fait que la plupart de nos traumatismes nous laissent peu de traces. Mais il arrive que cela ne fonctionne pas à cause de toutes sortes de circonstances (force du traumatisme, sensibilité particulière, période de vulnérabilité physique ou émotionnelle, etc.). On est alors aux prises avec toutes sortes de séquelles. C’est là que l’EMDR entre en jeu. Globalement, l’EMDR vise à engendrer des sentiments positifs, à faciliter la prise de conscience et à modifier les croyances et les comportements. L’accent est mis à la fois sur les composantes affectives, cognitives et somatiques de l’expérience traumatisante.
Pour en savoir +, je vous invite à consulter le site d’EMDR France, dont je suis un membre accrédité.
Je continue à me former grâce à la formation continue afin d être toujours au plus près de l’actualité de ma profession, actualiser mes connaissances, élargir mes domaines de compétences En 2012, j’ai obtenu l’accréditation de praticienne EMDR Europe (garantie d’une formation initiale et continue en EMDR)
L’année dernière, j’ai suivi plusieurs formations spécifiques sur les violences conjugales et familiales : « Violences domestiques » à Institut Français d’EMDR – Journée d’études sur les violences faites aux femmes avec Dr Muriel SALMONA (Ministère du droit des femmes).
J’envisage de compléter ma formation pour travailler en EMDR avec les enfants et les adolescents.
Psychologues ? Psychothérapeutes ? psychiatres ?
Les psychiatres sont médecins dont la spécialité est la psychiatrie ; leurs prestations sont remboursées par la Sécurité sociale.
Les psychologues ont une formation générale (Bac + 5 : master 2) en psychologie ; les 2 dernières années, les étudiants se spécialisent : ex : clinicien, psychopathologie, de l’enfant, ou bien dans la psychologie sociale, du travail, …Ils ont une charte déontologique. ». Personnellement, j’ai obtenu mon DESS (ex Master 2) en « clinique de la pyschopathologie de la vie quotidienne.
Les psychothérapeutes : Le décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute puis le Décret n° 2012-695 du 7 mai 2012 a modifié ce titre de « psychothérapeute » qui n’était pas protégé : n’importe qui pouvait s’intituler psychothérapeute ; afin d’ être en adéquation avec les autres pays européens, mais aussi pour protéger les personnes (clients ou patients) la France a « légiféré » sur ce titre de psychothérapeute ; ce décret donne les critères pour l’utilisation de ce titre ; une liste des psychothérapeutes a été définie par l’ARS (Agence Régionale de la Santé). L’ARS Midi-Pyrénées m’a déclaré inscrite sur cette liste donc reconnue à utiliser le titre de « psychothérapeute
En guise de conclusion
Si cette présentation a éveillé en vous de l’intérêt, ou seulement de la curiosité, n’hésitez pas à me joindre au 06 81 56 38 74 pour me posez des questions ou avoir un échange téléphonique ; laissez moi un message (car pendant les rendez-vous, mon téléphone est en mode silencieux !), je vous rappellerai dès que possible !
Où trouver Catherine au centre La Mane ?